The Prophecies :  Nitrax Phorum Nostradamus - The Rock Opera
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@#$%& homme @#$%& homme
Posted by: bY9zI2bT6h (IP Logged)
Date: November 13, 2014 02:23PM

qu'au moins, « le problème est pris en compte sérieusement ». De fait, le premier ministre s'est engagé à ce que l'État prenne « à sa charge le nettoyage des plages les plus touchées et sur lesquelles il peut y avoir un risque de santé publique ». Mais de plans d'action en réformes, municipalités et associations n'arrivent pas à se réjouir à l'annonce des mesures. « Cela fait trente ans qu'on attend, et la situation s'aggrave », déplore Jean-Paul Guyomarc'h. Même son de cloche du côté des politiques : pour le député Verts de Gironde, Noël Mamère, « le gouvernement intervient bien tard » sur le sujet. Quant à Gérard Lahellec, vice-président (PCF) du conseil régional de Bretagne, il dénonce « l'alignement du gouvernement sur les orientations européennes (...) qui exacerbe un peu plus la concurrence et la mainmise de la grande distribution sur nos productions ». François Fillon n'a du reste donné aucune information concrète sur la mise en application de ces aides. Quant au problème du stockage des algues ramassées, il reste entier. Marion d'Allard 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 20 Août 2009 Société Départ du patron de la police du 93 Jean-François Herdhuin, soixante ans, directeur départemental de la sécurité publique de Seine-Saint-Denis, soit le « patron de la police » du département depuis un an, est « sur le départ ». Il devrait rejoindre l'inspection générale des services. Mutation sanction ? Oui, pour un haut fonctionnaire cité par le Parisien, qui impute cette mutation à sa gestion d'une manifestation contre les violences policières en soutien à Joachim Gatti, le 13 juillet, et qui signale que « ses relations @#$%& le préfet de Seine-Saint-Denis n'étaient pas bonnes ». Faux, rétorque de son côté Sylvie Feucher, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme]survetement armani[/url] secrétaire générale du Syndicat des commissaires de la police nationale. Pour elle, l'intéressé aurait notifié sa volonté de quitter son poste dès le mois de juin : « Il ne semblait pas très chaud à l'idée d'intégrer le Grand Paris de la sécurité qui doit voir le jour le 1er septembre. » 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 20 Août 2009 société Polémique après l évacuation du square Villemin Mots clés : immigration Sans-papiers, Asile . À la demande de la Ville de Paris, ce parc du 10e arrondissement, refuge pour les migrants de la capitale, sera désormais fermé la nuit. Une décision condamnée par les associations. Il est un peu plus de 21 heures, mardi soir, lorsque CRS et maîtres-chiens débarquent au square Villemin dans le 10e arrondissement parisien. Situé entre le canal Saint-Martin et la gare de l'Est, ce petit parc est devenu le refuge des jeunes migrants qui affluent à Paris depuis la fermeture du centre de Sangatte, près de Calais, en 2002. Tous les soirs, ils sont plusieurs centaines à escalader les grilles du parc pour s'y réfugier la nuit. Une situation qui ne pouvait plus durer, selon la Mairie et la préfecture de police, qui ont décidé conjointement la fermeture nocturne du jardin. Pour une durée indéterminée, des forces de l'ordre patrouilleront la nuit devant le square pour dissuader les migrants d'y entrer. « il n'y avait Aucun interprète » Témoin de l'évacuation du square, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme]@#$%& homme[/url] mardi soir, Jean-Michel Centres, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-1-Survetement-Enfant]survetement lacoste @#$%&[/url] du Collectif des exilés du 10e, ne décolère pas. « Ce que j'ai vu m'a semblé particulièrement indigne. Les CRS ne se sont pas contentés de faire sortir les Afghans du parc, ils les ont poussés comme un troupeau vers Louis-Blanc où les attendaient des bus qui devaient les conduire vers la Boulangerie (un centre d'hébergement d'urgence du nord de Paris - NDLR). Mais il n'y avait aucun interprète, les Afghans ne comprenaient rien. Ils ont cru qu'ils allaient être emmenés en centre de rétention. Ils étaient inquiets et en colère. L'un d'eux m'a dit : « On nous traite comme des vaches » ! » La Mairie d

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