Serge Van Der Hoeven, aujourd’hui maire de la ville (qui à l’époque ne l’était pas), et de Virginie Foucault, désormais directrice du festival, et du Boulon-Pôle, futur pôle régional des arts de la rue. Depuis, le succès ne s’est jamais démenti. S’est alors posée la question d’un espace de création et de diffusion. Ce sera le Boulon, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]trench burberry @#$%&[/url] une ancienne boulonnerie où ont été fabriqués les rivets de la tour Eiffel. Pôle régional des arts de la rue, le lieu est en pleine réhabilitation. Il ouvrira le 30septembre prochain et espère être la bellisé Centre national des arts de la rue. Il serait alors le 11e du nom en France, le seul de la région Nord-Pas-de-Calais, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]echarpe burberry[/url] une région où, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]echarpe burberry[/url] dit-on, il est plus facile pour les habitants «de pousser la porte d’une usine que celle d’un théâtre ». Géraldine Kornblum 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 29 Avril 2011 Rédactrice en chef d’un jour Archives nationales, attention fragile! Isabelle FOUCHER Archiviste, Syndicat 
des Archives de France CGT Cavanna l’a dit 
et redit : «Touchez pas aux Archives, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]chemise burberry[/url] elles sont à nous ! Le décret de naturalisation de mon papa y dort, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]chemise burberry[/url] bien au chaud dans un casier, j’en suis très fier. Touchez pas aux Archives, nom 
de Dieu !» En effet, les Archives, 
c’est sacré, c’est notre bien à tous, c’est là qu’est préservée notre mémoire collective. Particulièrement dans 
les dépôts parisiens, silencieux 
et majestueux, construits pour 
les Archives nationales, filles 
de la Révolution française, où Michelet (l’archiviste et l’historien) entendait 
les morts murmurer…L’archive est une matière précieuse, vivante et fragile. Elle ne mérite pas d’être malmenée à des fins de propagande et de campagne électorale. L’archive, c’est la matière première 
des historiens mais c’est aussi ce qui fait foi pour faire reconnaître des droits. Seuls les citoyens à la poursuite 
de leurs droits et de leur(s) histoire peuvent bousculer le quotidien ensommeillé des cartons d’archives.La décision de Nicolas Sarkozy d’installer la Maison de l’histoire de France sur le site des Archives nationales à Paris, dans le Marais, remet en cause l’existence de cette institution. Les Archives nationales ont besoin de tout l’écrin que les gouvernements successifs depuis 1808 lui ont octroyé, construit et préservé, à Paris, puis à Fontainebleau et prochainement à Pierrefitte-sur-Seine. Les Archives nationales ont besoin d’espace pour préserver les trésors qu’elles abritent. Les Archives nationales nécessitent des mètres linéaires, des rayonnages 
pour déployer leurs chartes médiévales, pour accueillir les testaments, inventaires après décès, actes de vente rédigés depuis 1885 et qui s’entassent dans les études notariales sans pouvoir être consultés, alors que chacun 
a le droit, depuis la loi révolutionnaire 
de messidor anII, d’accéder gratuitement à toutes les archives publiques.Les Archives nationales méritent mieux qu’un musée de l’identité nationale, mieux qu’un lieu pour exalter «l’âme de la France», pays qui souffrirait d’une crise identitaire. Les Archives nationales ont besoin de continuer à veiller en paix et en silence à la préservation 
et à la communication des archives, sources de droits et d’histoire(s). 
Nicolas Sarkozy doit abandonner le projet de Maison de l’histoire de France ! Isabelle FOUCHER 1 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 2 Mai 2011 La chronique théâtrale de Jean-Pierre Léonardini Marilyn : l’esprit des formes Le metteur en scène polonais Krystian Lupa 
va présenter, [url=http://www.horizon-etudiant.fr]chemise burberry[/url] pour peu de jours, Persona. Marilyn(1), 
une expérience d’ordre théâtral d’une intense radicalité. Il s’agit là de forer, au plus profond, dans la psyché en lambeaux de la bouleversante divinité cinématographique dont l’aura n’est p

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