tatifs des personnes, à la suite de l'intervention de la police, ont montré que certaines avaient subi de cinq à vingt contrôles le mois précédent. L'étude en conclut que le contrôle au faciès réduit l'efficacité de la police. Pour les sociologues, donner plus de visibilité à cette « action intrusive » est incontournable si on veut améliorer la situation. Tous deux prônent, par exemple, l'enregistrement écrit de chacune de ces actions. Pour calmer les ardeurs et, surtout, pour permettre leur contrôle (par la hiérarchie, par les instances indépendantes...), ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Dany Stive 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 30 Juin 2009 société Lacrymo sur la fête aux Tarterêts Corbeil . Pour l élu PCF Bruno Piriou, la ville a besoin de tout, sauf d escadrons de CRS. Bruno Piriou, conseiller général (PCF) de Corbeil-Essonnes (Essonne), avait hier encore du mal à contenir sa colère après l'intervention policière qui a dégénéré, dimanche, au cours d'une fête dans le quartier des Tarterêts. « Cet après-midi ensoleillé devait être un beau moment de détente et de fête organisé par les associations locales. La population n'avait aucunement besoin, à ce moment, de voir arriver un escadron de CRS ! » Que la lutte contre la délinquance soit nécessaire, l'élu n'en doute pas, mais que la police intervienne comme elle l'a fait, au moment où elle l'a fait, l'élu ne doute pas non plus que c'était une erreur grossière. « Le problème, à Corbeil, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme]@#$%& femme[/url] aujourd'hui, c'est que l'État et la commune, ne sachant répondre aux véritables besoins de la population, n'ont qu'une seule solution : l'envoi d'escadrons de CRS. Pourtant, les Tarterêts ont besoin de tout autre chose : de moyens éducatifs, sportifs, culturels, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme]@#$%& @#$%&[/url] artistiques, de joie et de vacances aussi », lâche l'élu, furieux. À la décision funeste d'envoyer des CRS en pleine fête, sajoutée l'incroyable erreur, quand les choses ont mal tourné, d'user de tirs de grenades lacrymogènes au beau milieu d'un rassemblement de familles. « Je suis un homme responsable. À un moment, il a fallu protéger la population contre la police. » Associations, PCF, Verts, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-22-Survetement-Lacoste-Pas-Cher]lacoste homme[/url] « la ville ensemble » ont tout de suite aidé les habitants à manifester vers le commissariat, où une délégation a été reçue. Bruno Piriou a aidé trois personnes à porter plainte pour blessures (au total, vingt-sept plaintes avaient été déposées hier) et a exigé une enquête administrative. Et, surtout, il a réclamé que la ville, actuellement administrée par la préfecture, bénéficie de mesures exceptionnelles pour qu'elle « passe dignement l'été », c'est-à-dire autrement que quadrillée en permanence par les CRS. Dany Stive 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 2 Juillet 2009 société Douleur et revendications des Comoriens de Marseille Crash . La Fédération des Comoriens veut croire que la tragédie mettra fin au « mépris néocolonial » vis-à-vis du peuple de l archipel. Marseille, envoyé spécial. «Ils osent ouvrir leur bureau et vendre des billets... Le capitalisme, c'est vraiment ignoble ! » Au lendemain de la tragédie qui a vu disparaître dans l'océan Indien 61 Marseillais d'origine comorienne, la colère de Mohamed est intacte. Dans le crash de l'A310, il a perdu une demi-soeur, une tante et des amis proches qui se rendaient à un mariage à Moroni. Alors, @#$%& quelques autres jeunes de la cité Félix-Pyat, il est venu exiger, hier matin, des deux employés au teint défait de Yemenia Airways qu'ils ferment leur comptoir de l'aéroport de Marignane. Ce qui est accompli vers 11 heures, juste après que la compagnie a annoncé le report du vol du jour Marseille-Sanaa (Yémen).Monopole de Yemenia Tandis que des CRS installent des barrières de protection, les manifestants racontent des anecdotes de voyage, aussi extravagantes les unes que les autres, qui trans

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