rations. Le maire de Saint-Denis (900 habitants) M. Simonin refuse de mettre de l'huile sur le feu comme ses collègues des 25 communes de l'intercommunalité. Mais la situation incertaine, avant l'alignement du privé sur le public (les communes ne financeront le forfait scolaire pour le privé que dans les cas prévus par la loi sur les dérogations du public), crée de nombreuses revendications, voire dans certains départements des conflits. L'Assemblée nationale devait voter hier le texte adopté par le Sénat mais le débat a été retardé. « De toute façon, nous paierons », admet le maire de Saint-Denis, et il demande « une démarche commune @#$%& l'agglomération de Blois ». À la rentrée cependant, [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]Ralph lauren Pas Cher[/url] les cartes seront redistribuées et les écoles privées ne recevront pas le même montant du forfait. Une nouvelle guerre scolaire est-elle en train de mijoter ? J. M. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 16 Juin 2009 société À Calais, le sous-préfet traque aussi sur Internet Sans-papiers . Une militante, poursuivie pour diffamation après des propos tenus sur le Web, comparaît aujourd hui à Boulogne-sur-Mer. Un texte très court, de huit phrases, publié sur Internet par Indymédia Lille le 8 novembre 2008, [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]polo Ralph lauren Pas Cher[/url] signé de Zetkin a suscité, malgré sa relative confidentialité, l'ire du sous-préfet du Pas-de-Calais qui a porté plainte pour diffamation. Le procès a lieu ce matin à Boulogne-sur-Mer. « Gavory, le sous-préfet, comme tous les racistes, ne s'attaque jamais qu'aux étrangers »... « Gavory se paie la tête du porte-parole de Salam pour renvoyer à la mort près de 70 jeunes Afghans »... « La France de Pétain, [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]polo Ralph lauren Pas Cher[/url] [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]Ralph lauren Pas Cher[/url] on lui obéit ou on la combat. Gavory a choisi. » sont les quatre phrases incriminées. Leur auteur est une enseignante de cinquante ans, qui choisit le plus souvent l'appareil photo pour dénoncer l'omniprésence policière et la violence de ses interventions contre les migrants à Calais. « Je ne suis pas une humanitaire, mon combat est un combat politique, explique-t-elle. Ici, le responsable de cette politique inhumaine, c'est le sous-préfet et c'est lui qui a ordonné la rafle des Afghans. C'était l'horreur. » En ce début novembre, en effet, les autorités britanniques et françaises avaient prévu de remplir un charter pour Kaboul @#$%& des Afghans chassés du Pakistan et ne connaissant même pas leur pays d'origine. Les conditions dans lesquelles s'étaient effectuées les arrestations avaient été particulièrement violentes, @#$%& hélicoptère et interdiction aux journalistes d'approcher. Le responsable de l'association Salam, Jean-Claude Lenoir, avait été jeté au sol, mis torse nu, menotté, [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]Ralph lauren Pas Cher[/url] [url=http://www.taxi-barbiero-agen.fr]polo Ralph lauren Pas Cher[/url] avant d'être placé en garde à vue et poursuivi pour outrage à agent et rébellion. « Comme d'habitude », remarque Zetkin. Et c'est en annonçant cette arrestation qu'elle a exprimé à l'égard du sous-préfet tout ce que suscitent d'indignation les nombreuses entorses aux droits du quotidien calaisien. Rappelons qu'après remontrance de la Cour européenne des droits de l'homme au gouvernement français, les Afghans n'ont pas été expulsés. Émilie Rive 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 17 Juin 2009 Territoires Dans l actualité Pas-de-Calais Calais inaugure la Cité de la dentelle La Cité internationale de la dentelle et de la mode mise en oeuvre par la municipalité du maire communiste Jacky Hénin dans les années 2000 a été inaugurée jeudi 11 juin par la maire UMP Natacha Bouchart en présence de la ministre de la Culture, Christine Albanel. En marge de la manifestation officielle, un défilé organisé par le collectif Dentelle a eu lieu dans les rues de la ville « en signe de deuil ». Après des décennies de délocalisation, de licenciements, de liquidations judiciaires, l'industrie de la dentelle, qui a fait la réputation mondiale de Calais, se meurt. De 4 000 emplois il y a encore quatre

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