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survetement @#$%& @#$%& survetement armani
Posted by: rL8lL4zQ1n (IP Logged)
Date: November 14, 2014 09:30AM

êteté, chez les familles présentes hier, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-22-Survetement-Lacoste-Pas-Cher]survetement lacoste @#$%&[/url] juste des coups du sort. L'exemple de Florica Frimu, une Roumaine arrivée en France voilà une douzaine d'années, est, lui aussi très révélateur. Avec son mari et ses deux petites filles, elle habite dans une maison qui était en ruine quand ils sont arrivés. Tout a été refait par leurs soins. Malheureusement, l'ancienne propriétaire est décédée. Mais l'héritier n'a pas voulu renégocier. Et veut désormais récupérer le bien qui a retrouvé de la valeur. Christine Boutin, désormais ex-ministre du Logement, avait promis qu'« il n'y aurait pas d'expulsions sans relogement ». Or, la situation n'a pas changé. Le parc de logements sociaux, notamment en Île-de-France, reste bien inférieur à la demande. Et dans la majorité des expulsions, « il n'y a pas de relogements prévus, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-24-Survetement-Nike-Pas-Cher]@#$%& @#$%&[/url] juste des situations précaires », explique la maire de Bobigny. Le coût financier et social d'une famille envoyée à l'hôtel est considérable. Même si cette situation reste préférable à la rue. Pour la maire, « il faut construire plus et déclarer hors-la-loi les maires qui ne respectent pas la loi SRU ». Charles Poulhès 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 7 Juillet 2009 société Au lycée Ravel, le proviseur ne veut voir qu une seule tête Éducation . L inscription en terminale d un élève est remise en cause. Ses torts ? Avoir participé au blocage de l établissement parisien pendant le mouvement lycéen. L'école est-elle seulement le lieu de l'apprentissage des savoirs ? Ou a-t-elle également pour but de former à la citoyenneté ? En cette période d'examens, la question aurait aisément pu être posée aux bacheliers. Et en l'espèce, le cas de Tristan Sadeghi est un bon cas d'étude. Hier matin, une large mobilisation d'une centaine de personnes avait lieu devant le rectorat de Paris afin de demander l'inscription de ce lycéen de première économique et sociale en terminale. Trois jours avant les épreuves de français, il a appris que le proviseur du lycée Maurice-Ravel (Paris, 20e arrondissement) conditionnait sa réinscription à un engagement écrit « à ne plus participer à des actions de blocage du lycée », explique Hossein, son père. Bon élève, selon ses professeurs, Tristan n'a jamais été l'objet de rappels à l'ordre disciplinaires.DES MENACES INADMISSIBLES Ce qui cloche donc, pour le proviseur, c'est bien l'engagement de ce lycéen contre les réformes Darcos. Et, en l'occurrence, son mode opératoire. « Depuis l'an dernier, le proviseur intimide ceux qui se mobilisent. Il a été voir les lycéens de seconde, plus influençables, en les menaçant de ne pas les inscrire dans la filière qu'ils souhaitaient ou tout simplement de ne pas les reprendre s'ils poursuivaient le mouvement », explique Tristan. Autre ficelle employée par le proviseur : faire croire que les jeunes bloqueurs n'étaient pas représentatifs de la majorité. Rien que du très classique. « C'est représentatif du contexte de criminalisation de la contestation sociale. Une manière de dire aux copains : faites attention à vous, regardez ce qui est arrivé à Tristan », analyse le lycéen, dont l'intelligence a été de ne pas céder à la peur mais d'en faire un cas d'école politique. Pour Danielle Simonet, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme]survetement @#$%& @#$%&[/url] conseillère de Paris (Parti de gauche), cette affaire est à mettre en lien @#$%& les velléités gouvernementales en faveur d'une plus grande autonomie des établissements et donc vers l'affaiblissement de la « démocratie lycéenne ». Selon Amar Bellal (PCF), qui est également enseignant à Gagny, l'histoire de Tristan n'est pas une « bévue ». « On cherche à faire des petits soldats du système. Pour beaucoup d'élèves, la mobilisation a pris des allures d'apprentissage de la citoyenneté. Et la réponse a parfois été violente, même contre des « pioupious » qui faisaient le barrage @#$%& des guitares. À Gagny, on a envoyé des Robocops munis de matraques et de gaz lacry

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