s collectivités locales. À la fin des années 1980, le groupe SCIC compte ainsi plus de 200 000 logements à son actif, dont l'écrasante majorité dans le parc social. Au cours de la décennie suivante, la SCIC se réorganise pour scinder ses activités de maîtrise d'ouvrage sociale, de promotion en accession et d'assistance à maîtrise d'ouvrage. Ce qui lui permet de se concentrer progressivement sur les activités concurrentielles abandonnant peu à peu le logement social. Et en 2003, la SCIC devient Icade. L. S. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 29 Juin 2009 société Un petit coup de matraque pour fêter le bac ? Violences policières . Des lycéens se seraient fait matraquer, mercredi, à Paris, le soir de la fête de fin de bac. L un d eux a porté plainte. À 4 heures du matin, tout allait encore bien. C'est après que la situation s'est corsée pour Raphaël D. et ses potes. Élèves au lycée Marie-Laurencin de Mennecy, dans l'Essonne, tous ont débarqué mercredi soir dernier pour célébrer la fin du bac sur le Champ-de-Mars, à Paris. L'ambiance se voulait bon enfant. Une nuit blanche plus tard, Raphaël est revenu @#$%& une contusion au genou et un hématome au mollet qui lui valent une interruption totale de travail (ITT) de quinze jours, une attelle et un mois de béquilles. Pas une rixe entre jeunes : le garçon accuse un représentant des forces de l'ordre de l'avoir frappé, sans motif. « On était une quinzaine de copains, plus d'autres que l'on connaissait de vue », [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme]survetement @#$%& @#$%&[/url] [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-15-Survetement-Homme/c-16-Survetement-Adidas-Pas-Cher]@#$%& homme[/url] raconte Raphaël, reprenant son récit du début. Une trentaine de jeunes au total, venus décompresser face au Trocadéro, parmi des milliers d'autres. La pelouse, la tour Eiffel et les guitares... La nuit, dit-il, se passait pour le mieux. « Vers 5 heures du matin, on était encore une dizaine sur place. » C'est alors qu'un gars s'est pris le bec @#$%& une copine. « Je le connaissais. Il n'était pas violent, mais il l'insultait, continue Raphaël. Je l'ai pris par la taille pour l'écarter de la fille et lui dire de se calmer. » C'est là que le policier - ou le CRS, Raphaël n'est pas sûr - arrive et le frappe au visage. « Une bonne grosse claque qui m'a déséquilibré. J'ai levé les mains en l'air, j'ai dit que je n'avais rien fait... Il m'a donné un coup de matraque sur le genou, et je suis tombé. » Toujours selon Raphaël, l'homme le plaque sur le sol, lui pose un genou sur la colonne et lui fait une clé de bras dans le dos. « Je n'arrêtais pas de lui dire que je n'avais rien fait. Lui me disait : ferme ta gueule ! Ferme ta gueule ! Il n'a aucunement cherché le dialogue... » La scène dure encore quelques minutes. « Quand il a vu que ça ne tournait pas à l'affrontement, il est reparti. » L'histoire ne s'arrête pas là. En colère et stupéfaits, [url=http://www.ete-musical-sud-morvan.fr/c-6-Survetement-Femme]survetement homme[/url] Raphaël et ses copains se dirigent vers la brigade, en faction à côté. « On voulait juste qu'ils nous expliquent pourquoi leur collègue avait agi ainsi. » Ils n'auront pas la réponse. « Ils nous ont ri au nez, nous ont insultés et ont donné du mou à la laisse de leurs deux chiens. » La suite, c'est Valentin, arrivé sur les lieux en cours de route, qui la raconte. « Quand je les ai rejoints, j'ai vu Raphaël limite en larmes et un autre, Maxime, le bras en sang, mordu par un chien, explique-il. J'étais choqué. Je regardais les policiers dans les yeux, je leur demandais : pourquoi ? » La réponse qu'il retient est cinglante : « On m'a dit : les coups, c'est gratuit. Si tu veux, on t'en redonne... » D'autres jeunes du groupe écoperont, semble-t-il, d'une tournée. « Un copain a été embarqué et dit s'être pris des baffes. Une fille a eu un cocard et une autre aurait le bras dans le plâtre », continue Valentin, sans pouvoir donner plus de détails faute d'en avoir été le témoin direct. Pour l'heure, seul Raphaël a déposé une plainte. « Je devais travailler trois semaines dans un centre aéré pour valider mon BAFA. Comment je vais faire @#$%& des béquilles

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