e texte. " Devant l'importance de ces dispositions, il aurait fallu l'avis d'une commission spéciale du Sénat composée de la commission des Lois, de celle des Affaires culturelles (pour avis sur la recherche fondamentale et la recherche appliquée), et de celle des Affaires sociales, l'avis du Conseil d'État, du Comité national consultatif d'éthique et de la Commission nationale consultative des droits de l'homme. Sans parler de la nécessité de sortir ces questions du réseau des experts et des spécialistes. Elles concernent l'avenir de l'humanité, c'est-à-dire chacun de nous. Qu'est-ce que l'éthique si elle n'est pas sous la responsabilité de chacun, si elle n'est pas une éthique citoyenne, @#$%& une appropriation par tous de ces débats que l'on cherche à nous présenter comme complexes pour mieux les contrôler ? On veut faire passer des orientations essentielles en catastrophe, au forceps, comme si l'on avait mauvaise conscience et quelque chose à cacher. Avec de mauvaises intentions, en quelque sorte. D'autant que la loi ne sera pas revisitée globalement. Dans ces conditions, [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]chemise burberry @#$%&[/url] nous nous attacherons à défendre des positions fondamentales : la sauvegarde de la dignité et de la personne humaine, pour éviter son instrumentalisation, le principe constitutionnel de sa primauté, de son inviolabilité, du caractère patrimonial du corps humain et de l'intégrité de l'espèce humaine. En combinant cela @#$%& la liberté de la recherche, de la science, [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]burberry @#$%&[/url] du développement de chacun qui doit bénéficier des progrès thérapeutiques. " Tout, dans cette réécriture, me laisse très interrogatif. Le débat, à n'en pas douter, [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]burberry @#$%&[/url] se développera sur l'ouverture de la recherche sur les embryons, le clonage thérapeutique et la brevetabilité. " Propos recueillis par E. R. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 27 Janvier 2003 L homme du jour Roger Cukierman Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France a créé une polémique lors du traditionnel dîner annuel du CRIF, en présence du premier ministre Jean-Pierre Raffarin, en dénonçant une " alliance brun, vert, rouge ". Selon Roger Cukierman, pour qui " l'antisionisme est le nouvel habit de l'antisémitisme ", [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]chemise burberry @#$%&[/url] se retrouve au sein de cette alliance " une extrême droite nostalgique des hiérarchies raciales " et " un courant d'extrême gauche, antimondialiste, anticapitaliste, antiaméricain, [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]burberry @#$%&[/url] antisioniste ". Ce banquier avait déjà soulevé maintes polémiques, notamment lorsque le journal israélien Ha'aretz avait relevé, dans son édition du 23 avril 2002, ses propos selon lesquels les sentiments anti-immigrés du Front national lui faisaient dire que " les juifs de France et Le Pen partagent un intérêt commun ". Roger Cukierman avait évidemment démenti. Arguant que ses propos avaient été déformés. Mais il n'en était pas à son coup d'essai. Élu en mai 2001 à la présidence du CRIF, il fit gronder la révolte à l'occasion d'un appel du CRIF à manifester le 7 avril 2002 contre les actes antisémites et en solidarité @#$%& " le peuple israélien ", pour avoir mis le bureau du CRIF devant un fait accompli. l'instigation du président du CRIF plusieurs radios appelaient à la manifestation présentée comme une opération de " soutien inconditionnel à Israël ". Samedi, il a définitivement franchi les bornes. Fe. N. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 28 Janvier 2003 Éducation De la cohésion entre surveillants et profs Albi, au lycée Rascol, [url=http://www.bestwestern-kemaris@#$%&/]sac burberry @#$%&[/url] la solidarité n'est pas un vain mot. Elle est née d'intérêts convergents. Albi (Tarn), correspondant régional. Dès l'entrée dans la salle des professeurs du lycée Louis Rascol d'Albi, l'attention est tout de suite attirée par la longue série des panneaux syndicaux. Les organisations d'enseignants y affichent dans un même mouvement les raisons de soutenir l'action des surveillants engagée depuis plusieurs se
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