n appareillage puissant pour une danseuse d’exception.Au Théâtre de la Girasole, à 15 h 20. 04 90 82 74 42. M.S. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 20 Juillet 2011 Festival d Avignon 2011 Théâtre ouvert, troisième épisode La mise en espace astucieuse de Frédéric Maragnani pimente un texte plutôt convenu d’Éric Pessan sur la société de consommation. Catherine Hiegel, Philippe Vieux, Christèle Tual, [url=http://www.dup-paris.fr/]Lacoste Soldes[/url] Laurent Charpentier, Émilien Tessier et Gaëtan Vourc’h, voilà pour la distribution de Tout doit disparaître (soldes monstres), d’Eric Pessan. La mise en espace de Frédéric Maragnani insuffle un rythme débridé à ce récit, [url=http://www.dup-paris.fr/]polo lacoste[/url] qui veut mettre en boîte la société de consommation. Tout commence le premier jour des soldes à Val Enchanté, centre commercial dont on imagine l’emplacement quelque part dans ces zones hybrides qui fleurissent à la périphérie des villes. Il y a de l’excitation dans l’air. Une demi-heure avant l’ouverture des portes, la foule se presse et trépigne d’impatience lorsque, soudain, [url=http://www.dup-paris.fr/]Doudoune Lacoste Pas Cher[/url] on ne sait plus trop comment, ça dégénère, [url=http://www.dup-paris.fr/]Doudoune Lacoste Pas Cher[/url] ça se bouscule au portillon. Bilan des courses, si je puis dire : neuf morts, douze blessés graves que l’on relève de ce champ de bataille moderne.Le propos, dénoncer la société de consommation n’a, en soi, rien de bien neuf. Toutefois, l’écriture de Pessan dégage une vraie musicalité qui procède d’un découpage subtil, incisif, aux dialogues finement ciselés où les paroles des protagonistes se croisent à des interstices qui dessinent peu à peu les contours d’une vraie dramaturgie. La mise en espace de Frédéric Maragnani, comme sa direction d’acteurs, [url=http://www.dup-paris.fr/]lacoste @#$%&[/url] organise, elle, une polyphonie qui valorise la partition de chacun des acteurs. La Hiegel, dans la peau de la caissière de supermarché, est magistrale. Ses comparses de jeu ne sont pas en reste. Philippe Vieux, [url=http://www.dup-paris.fr/]lacoste @#$%&[/url] le vigile, tout en retenue, donne un beau relief à son personnage. L’ensemble des acteurs participe de ce jeu collectif, préparé, faut-il le rappeler, en peu de jours selon les règles de Théâtre ouvert. Ajoutez quelques finesses, notamment l’usage du téléphone mobile extrêmement amusant, ainsi que la voix off de Pierre Bellemare s’autoparodiant. Et le tour est joué.C’était les 18 et 19juillet 
à la Chapelle des Pénitents blancs.Avignon, envoyée spéciale. Marie-José Sirach 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Culture - le 21 Juillet 2011 Festival Radio France Montpellier La musique sur la portée du service public Le Festival Radio France Montpellier Languedoc-Roussillon mêle audace, découverte et prise de risque. Montpellier, correspondance. Unique en son genre, le festival de musique de Montpellier se veut d’abord celui de la découverte. Relayées par les ondes de Radio France, ces musiques originales et souvent audacieuses retrouvent vie, par la volonté de l’infatigable découvreur qu’est René Koering. Qui connaît ces compositeurs cette année à l’affiche : Fromental Halévy, Théodore Dubois, Attilio Ariosti ou Charles-Simon Catel ? Leurs œuvres méritent la curiosité et éclairent sur leur époque. Pour autant leur oubli par la postérité s’explique. Avec l’ouverture du festival par la Magicienne, d’Halévy (1858), on est dans le repentir de Mélusine qui se moque de l’enfer et du ciel, et son retour en grâce chrétienne. Côté musique, l’académisme pompier domine.Les liens évidents entre l’histoire de l’opéra et celle de l’église durant le Second Empire s’expriment aussi pleinement dans l’ouvrage expiatoire de Dubois, le Paradis perdu (1878). Rééduquer le peuple et raffermir la foi catholique, c’est la commande faite aux candidats du concours d’oratorios organisé au lendemain de l’écrasement de la Commune de Paris et de la Semaine sanglante. Le seul intérêt de cette pièce se situe dans les ressemblances @#$%& Franck ou Gounod, ses

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