ence, [url=http://www.burberrymagasin.fr/c-2-Burberry-Enfant/c-6-Chaussure-Burberry-Ballerines]Chaussure Burberry Ballerines @#$%&[/url] bien réelle celle-là, qu'elle représente pour les premières victimes d'une crise dont les jeunes sont tout sauf responsables. Et 150 000 à 250 000 d'entre eux devraient s'ajouter à ce désastre d'ici à la fin 2009, [url=http://www.burberrymagasin.fr/c-2-Burberry-Enfant/c-4-Blouson-Burberry]Blouson Burberry @#$%&[/url] selon différentes « projections officielles ».Les chiffres, encore plus glaçants, que nous découvrons dans les différentes missions locales pour l'emploi où l'Humanité s'est rendue, témoignent du cataclysme en cours. Dans ces quartiers populaires, l'on apprend que le chômage des jeunes a augmenté de 57 % en un an, qu'il a doublé pour les titulaires de diplômes à bac + 3. Comme pour leurs aînés qui y vivent, la situation de ces jeunes souligne de plus l'échec des politiques dites « de la ville » menées depuis des années par la droite, de Jean-Louis Borloo à Fadela Amara dont le plan mériterait, hélas, d'être rebaptisé « désespoir banlieue ». Qu'il y ait désormais pas moins de quatre ministres, secrétaires d'État et autres « hauts-commissaires » en charge, d'une manière ou d'une autre, de la jeunesse populaire masque mal qu'elle compte aux premiers rangs des victimes des choix partagés par l'Élysée et le MEDEF. Alors qu'un tiers des jeunes de ces quartiers sont sans diplôme, la suppression des postes d'enseignants et des RASED frappe encore plus durement les collèges situés en zone d'éducation prioritaire. Alors que les deux autres tiers ont pu bénéficier de l'élévation continue de la qualification (les jeunes de 18 à 25 ans sont plus qualifiés que les 35-49 ans, par exemple), la réforme du bac professionnel en trois ans sabote purement et simplement des parcours de réussite permis par la mise en cohérence @#$%& les BEP et CAP. Quant à la poursuite au-delà, la « réforme » des universités voulue par Nathalie Pécresse, au nom de « l'autonomie des universités », asphyxie les IUT. Quand il faudrait, décidément, accorder plus de moyens en proportion pour rendre ces quartiers ghettoïsés vivables et permettre aux jeunes qui y sont nés de sortir de la stigmatisation, ce gouvernement préfère les sacrifier. Ou allouer 9 600 euros par jeune à une officine privée lorsque les missions locales pour l'emploi doivent se débrouiller @#$%& vingt fois moins. Ou organiser la chasse aux chômeurs. Quels gâchis, humains et financiers.Rarement les seigneurs qui nous gouvernent ont eu autant le mot « diversité » à la bouche. Face à la récession qui s'accélère, le président de la République, à Saint-Quentin, a promis de s'occuper des jeunes dans les jours à venir, en même temps qu'il se lançait dans un discours de guerre sociale. À la violence de la crise, il n'oppose que la violence des mots à l'endroit de ceux qui veulent y résister, en un pari des plus dangereux. Du côté de la jeunesse, [url=http://www.burberrymagasin.fr/c-13-Burberry-Femme/c-38-Tee-shirt-Burberry-Manches-Courte]Tee shirt Burberry Manches Courtem @#$%&[/url] [url=http://www.burberrymagasin.fr/c-50-Burberry-Homme/c-66-Pull-Burberry-Col-Rond]Pull Burberry Col Rond @#$%&[/url] de celle qui n'a pas le droit à la parole, il faut pourtant retenir qu'elle fait encore plus majoritairement confiance aux syndicats et qu'elle soutenait à 91 % la journée du 19 mars, selon deux études de l'IFOP. Il est des colères qui peuvent ne pas être aveugles. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 10 Avril 2009 Société La LDH dénonce « un recul des droits et libertés » en 2008 « Une société de surveillance ? » C'est le titre du rapport annuel que la Ligue des droits de l'homme a rendu public hier (le texte est également publié aux éditions La Découverte). Pour Jean-Pierre Dubois, son président, la réponse est claire : « Le recul des droits et libertés qu'avait accéléré l'arrivée au sommet du pouvoir de Nicolas Sarkozy en mai 2007 a continué sans désemparer tout au long de l'année 2008. » Et l'organisation de dénoncer « l'ère des miradors invisibles », la surveillance qui frappe « tout particulièrement les défenseurs des droits et les lanceurs d'alertes ». En clair : plus « l'État pénal avance », plus « l'État social recule ». 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.So

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