fluide. La proximité de la capitale donne à Saint-Ouen une attractivité qui s'est affirmée dans les années quatre-vingt-dix, @#$%& la revitalisation économique de la ville. Et depuis trois ans Saint-Ouen bénéficie d'une attractivité résidentielle. La convention @#$%& la Ville de Paris traduit la volonté de travailler les lisières des territoires de nos deux communes qui ont été profondément délaissées. Le deuxième projet important lié à la convention concerne les Puces. Nous travaillons ensemble pour le développement de ce patrimoine. Le troisième volet de la convention, c'est la politique du logement. Il ne faut plus que les habitants les plus pauvres soient chassés de Paris vers la banlieue. La meilleure traduction de cette coopération, c'est la future convention que nous sommes sur le point de signer @#$%& la Ville de Paris concernant les 10 hectares de terrain qu'elle possède sur le territoire des Docks. Il s'agit bien d'un projet partagé : il y aura sur ces terrains des logements pour les Audoniens et pour les Parisiens. Quel est le calendrier du projet ? Jacqueline Rouillon. Novembre marque la fin de l'étude qui donne un schéma directeur et les grandes orientations du projet. Elles vont donner lieu à une restitution publique en décembre. Pour la deuxième étape, en novembre également, le conseil municipal délibérera sur la création de la ZAC. Nous entrons donc dans un processus opérationnel. Sans attendre, [url=http://fer-a-lisser.moonfruit.fr/]fer a lisser[/url] quelques projets sont déjà engagés : deux immeubles de bureaux, une école, le programme de logement social. Notre volonté est d'aller le plus vite possible. Entretien réalisé par J. M. 0 commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.Société - le 30 Octobre 2006 société Le Réseau des transports marseillais au point mort Hier, aucun bus ne circulait à Marseille. Les conducteurs de la RTM faisaient valoir leur droit de retrait. Spontanément, les conducteurs de bus de l'agglomération marseillaise, de la RTM, ont refusé de prendre le volant hier matin. Samedi soir, [url=http://fer-a-lisser.moonfruit.fr/]fer a lisser babyliss[/url] c'est à la demande de leur direction que tous étaient rentrés au dépôt à la suite de l'attaque dramatique survenue en début de soirée. Mais dimanche matin, la direction de la RTM déniait tout droit de retrait à ses conducteurs. Charles Albertini, syndicaliste à la CGT, était en colère : « Cest insultant ! Ils ont proposé de payer leur journée aux agents s'ils acceptaient de reprendre le travail dans l'après-midi. » C'était, visiblement, ne pas comprendre le traumatisme ressenti par le personnel. Les conducteurs veulent quelques assurances avant de reprendre la route. La présence policière renforcée, immédiatement mise en place, ne les rassure en rien quant à l'avenir. « On ne peut pas mettre en permanence un gendarme derrière chaque bus. Il est indispensable d'occuper le terrain, de le reprendre en main. Là où nous sommes visibles, [url=http://fer-a-lisser.moonfruit.fr/]fer a lisser[/url] il y a moins d'incivilités, il y a moins d'actes de délinquance. Cela suppose une présence accrue de personnels dans les transports », lâche le syndicaliste. Une revendication qui va à l'encontre de l'orientation défendue depuis des années par la direction, à savoir la réduction des effectifs. La CGT de la RTM réclamait dès hier une réunion @#$%& la communauté urbaine de Marseille et demandait à rencontrer de nouveau la direction générale ce matin. Le secrétaire général du syndicat, [url=http://fer-a-lisser.moonfruit.fr/]fer a lisser[/url] Alain Vercellone, précisait : « Nous espérons que la direction va se pencher @#$%& nous sur le problème de la sécurité dès aujourd'hui car nous sommes souvent confrontés à des agressions. » Le syndicaliste appelait de ses voeux un retour de « la police de proximité dans les transports ». « Nous avons eu, il y a quelques années, une police de proximité dans les transports à Marseille @#$%& des permanences dans les stations de métro et autour des arrêts de bus, elle a été supprimée, mais c'est une solution à laquelle il faut penser », ajoutait-il. Quoi qu'il en soit, les conducteurs se